Romain Rolland, né le 29 janvier 1866 à Clamecy (Nièvre) et mort le 30 décembre 1944 à Vézelay, est un écrivain français, lauréat du Prix Nobel de littérature en 1915.
« L'ennemi mortel de l'âme c'est l'usure des jours. »
« Si un sacrifice est une tristesse pour vous, non une joie, ne le faites pas, vous n'en êtes digne. »
« La violence n'est le Credo d'aucune religion. »
« Les mots nous trompent comme des filles. »
« La fatalité, c'est ce que nous voulons. »
« Peu importe le succès, il s'agit d'être grand, non de le paraître. »
« L'art n'est pas une vile pâture, livrée aux vils passants. Une jouissance, certes, et de toutes la plus enivrante. Mais elle n'est le prix que d'une lutte acharnée, et son laurier couronne la victoire de la force. L'art est la vie domptée. »
« Sous l'affublement des grands mots, des panaches, des parades de théâtre... »
« Un grand artiste écrit presque fatalement une oeuvre gaie quand il est triste, une oeuvre triste quand il est gai. »
« Tu ne vivrais pas, si tu ne croyais pas. Chacun croit. »
« Qui veut vire doit s'adapter aux conditions nouvelles de la vie. »
« L'art meurt-il jamais? Il se métamorphose, il s'adapte aux circonstances. »
« Même sans espoir, la lutte est encore un espoir. »
« Quand un Français a des idées, il veut les imposer aux autres. Quand il n'en a pas, il le veut tout de même. »